Plus je regarde le fond de l’abîme, plus je m’enfonce dedans.
Et toi, monde, tu t’enfonces avec moi, comme si tu étais moi.
Où nous enfonçons-nous, sinon dans la gueule de l’ouroboros ?
Et quand nous l’aurons enfin décidé, nous nous préparerons à nous recracher.
Ils veulent tous que je souffre, mais je suis eux.
Alors, ils souffrent eux aussi.
Voici le seul mal de ce monde.