Le cercle parfait n’existe pas

Je vais vous faire voyager dans le cercle d’une manière peu conventionnelle.

Considérons quelque chose comme les intégrales, qui cherchent à faire des approximations de courbes par des droites.

Considérons que le cercle le plus imparfait n’a que trois côtés, et qu’il s’agit du triangle équilatéral.

Plus on ajoute de segments à ce triangle, et plus on obtient de formes plus proche du cercle parfait.

Ainsi, l’on va du carré au pentagone, puis à l’hexagone, puis l’octogone, etc.

Et si l’on va à l’infini, le cercle devient parfait.

Mais le problème du cercle parfait, c’est que son nombre de côté étant infini, la longueur de ces côtés est nulle.

Hors, zéro plus zéro plus zéro à l’infini ne donne pas un cercle, mais le néant.

Voilà pourquoi le cercle parfait est une erreur.

Et voilà que Pi devrait être calculé, à chaque fois, en fonction d’un nombre précis de côtés, pour un cercle approximé.

Nous n’en serions que plus justes, et pourrions, à chaque fois, évaluer le poucentage de tolérance d’erreur.

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